A carteret En cliquant sur la ph

il était une fois, un vif éclair

il était, et ceux çi, un éclair vif et même très étroit.

il était, malgrè, un vif, mais aussi

et cet éclair si vif

dans, un « oasis » il existe, ceux çi et tout cela

dans une boite, il existe, ce que « Sartre » voulait dire

etc...

dans mon « oasis » il existe de bonnes et d’heureuses

écoles

dans une aile, il existe beaucoup de destins

ils existent, aussi, ceux qui ne veulent pas en avoir

même, ceux ci , que je ne saurais dire .

Etc.....

ah! , quelle classe, ce petit prince

ils existent aussi, les petits pots de fleurs

même s’ils font mal , ils existent encore .

Ils sont, et , fous d ' être parmi nous .

Même, si, ils veulent se voir et se revoir.

dans notre grande vie,

celles que nous connaissons aussi,

ils, existent ces petits martiens

vifs comme l’éclair, ils existent aussi, « les terriens »

dans nos villes,

il y a beaucoup de villageois,

ils existent et se refondent encore, un destin

dans nos petits pots de fleurs, ils existent aussi

notre vie, et nos vies a nous se veulent, aussi,

d'être répertoriés dans nos bibles à nous.

Vive « paris » et sa tour Eiffel.

seul celui ci, n'est encore, et

il est parmi nous,

ceux ci , existent

même, en hiver, il va de soit

reçois toi , et accueil nous parmi nous,

mon cher « artiste »

dans nos villages, de cette région,

Poitou Charente, et nos petits lutins

que cette culture, ne se voit pas trop

administrée, parmi nous, ces anges et paradisiaques

enfants,

que celle ci , ne se dévoile pas trop, même si celui ci ....

il était une fois, un petit prince, surnommé Antoine de Saint

Exupéry, qui s'envolait, parfois, à tout égard.

Cette « Antoinette « , musicien et organisateur de réunions

dites secrètes, se dévoila, parmi vous mes frères, en

s'injectant un « poison « pas bon pour les petits.

parmis les enfants, il,y en a certains

qui sont des clowns qui séchent l'école.

Mais, raconte moi une histoire,

mon cher petit enfant.

Je suis « clown « et mon peintre

je t'aime comme tu es ! Mon petit clown

fera la fête, donnant une montagne.

Je suis ton clown. La fête des clowns est

d'or et déjà racontée dans le « petit prince

de l'écrivain, aviateur et journaliste.

c'est une fête, mon prince, à bientôt

que ce soit, et comment te le dire ?

Je dors mon prince, toi qui rêve à ta

princesse.

Que ce soit, à l'extérieur.

Mais voilà.......... tu t'échapperas

ainsi et souvent comme à l'ancien temps

Bon vent, ma poule

le paysage bleu ,

cette plage , si timbrée de beaucoup ,

jusqu'à, plusieurs étages de ciel très

ennivrant .

Ce rouge , très vivace et très grand ,

avec un appéti , sur , et dans une plage

si dense , une loupe de couleurs très

variées , et , si belles a regarder , moi ,

mon jolie coeur , moi , aussi , et avec moi

mon amour , sur la plage , il etait une foi ,

une histoire , et une mélancolie .

Bon vent et , à bientôt

dans illusres rêves , de gares en stations

de métro

le « tout paris » et néammoins grosses bises a la station saint michel .

De « paris » a montmartre ,

de villes en villageois , et , de regard,

très et sensibles a' notes de musiques ,

nous voilà , nous et les autres , aussi en vacances .

La « normandie » très avouée , car très principale plage ,

de « carteret » à barneville , en passant

par le petit sentier , celui ci ,

mais , voilà , que la falaise , s ' esbrouffe ,

et , je vais , à la mére , maintenant .

dans , nos, montagnes de la rue ,

des pas de calais a nos villages ,

de part nos rues , et nos « rémuninages »

le « scopisme » , et l écrit de nos ancêtres

nous, chevaliers de « france » ,

de « ségolène » , à collomb , en passant par nos citoyens de france ,

« le prince » que je suis , « lefebvre »

peintre et sculpteur , vivant , dans nos vies , de part nos gares de « france »

le « radiologue » , le sopyclottreve .

Je suis malade , et , je le resterait

voilà , à l'usine .

Comme à la campagne , il existe , beaucoup de peintres et de chansons .

Nous voilà , nous voici ,

et nous , voilà , et , nous , voici ;

merde à cette usine , qui m ' est si capital

vive l'addition , salée et restroppitive .

En allant à la pêche ,

et , en , voyageant aussi , nous voilà vers « notre dame de la garde » ,

et nous voici , très enfants , de savoir ,

que le soleil existe aussi , et nous regarde , aussi ;

bon vent et bon voyage

ils en existent , ceux qui ont lus et racontés ,

de plupart , et, aussi , ceux qui vont et reviendront

nous en avons besoins et aussi , nous en avons aussi , voulus ,

des plusieurs ,

et des parmis nous , aussi.

Ils en existent aussi , beaucoup.

j'en fait . Et j'en veux aussi ,

pourqu'oi ne pas en faire ?

Cette vie si triste que je vis ,

cette peinture si agréable , à vos yeux .

« coluche » notre poule a nous .

« attali » cet homme si humain

montant , mon héro, de mes marches aussi.

Bon vent et bon ravitallement

ce rose

cette rosette

cet ouvrier

cette oeuvre d'art .

il existe de mutiques « masques »

dans la vie qui s’écoule,

le long de la rivière qui descend

de la montagne.

Il peut y avoir des masques bleus, des jaunes, des roses,

des rouges, des verts, des gris,

mais surtout pas des noirs.

Les masques noirs ont une couleur qui « dort »

mais chut !

Toutes les histoires , sont , celles

des clowns !

Des clowns indépendants ?

Ceux qui ont des masques de couleurs, comme le rouge, et le jaune, sont,

des « clowns » heureux de vivre

« la fête des masques »

musiciens et ceux qui ont des

« masques « verts et bleus, sont

des clowns qui inventent

comme si le clown avait des

couleurs du petit enfant.

Va à l’école, mon enfant.

Il faut aller à l’école.

L’école est « le reflet « du

grand peintre que tu es ?

A bientôt et mon masque a moi !

depuis des années,

le journal qui, maintenant de « Laurence Ferrari » que je salue ;

aussi, nous avons, besoins de beaucoup, de bases,

nous, les travailleurs sociaux,

et, je vous en donne, aussi.

Le « festival » est surtout, et ne le dites vous pas, encore !

Une réunion politique, et « carte sur table » ,

une immense rencontre, de savoir que

« le festival des lilas «

notre fleurette à nous, les artistes du festival.

il était une fois, un peintre d'art conceptuel et

représentant, l'art nouveau, de ce nouveau monde, je sais, c'est mal dit.

Il suffit d’écrire, et non, d’inventer.

Cette tête, rouge de par sa perspective,

peut, éventuellement, nous, faire croire,

à nous les saltimbanques, que le monde

est rond, et de forme rouge.

A bientôt et bon vent

il était une fois, un petit homme dénommé, le petit prince, qui s’étonna, du fait, de construire, une loi, très rétroactive, dans un domaine que peut de

personne, entre elles, à savoir de jouer au bridge

avec les amis, de façon, mais sans en être

persuadés de comprendre comment un cours de

lettres modernes et de lettres classiques, nous, admirons, bien sûr, ces petits lutins.

Bon vent, mon cher, petit prince

paris, 20eme , janvier , 2008

Remarqu'ez les , ces petits poissillions, encadés dans une église , qui va et revient , le temps d 'une riviére ,

remarqu'ons , en devinant les édifices , pointés vers les collines aguichantes de cette ville romaine , rome , la splendide .

Que ces couleurs, bleus ou vertes , ou même, oranges vers un jaune très cocu, d'un rose, très vorace, en saintes mére , les églises divinatoires.

Que ce milieu de vie , qui nous aime, nous les artistes français , nés et vivant dans cette béatitude, vers , un « igloo » très construit , dans des steppes ,lointaines

Bon dimanche, mes amis

Dans des marées et des retombées , très mytique , que les voiles et les bateaux , de pêches comme de promenade, vont et refoulent , un flux et un reflux ,

que les bateaux , dans des quais et dans des marmittes , sont à voir , comme à revoir , toutes les voiles dehors , et dans des sacs de crabes et de crevettes .

Que les pêches miraculeuses , n 'obtenons , plus ni même , les prix de concours, sur une plage , meurtrie, par des vagues et des tempêtes, très tombées , très tombées , de hautes comme de basses mers , l 'été , comme oh ?

Printemps , regarde moi ?

Ma poule , reviens et ne me quitte plus , mon amour !

Salut et bon vent de normandie .

Il y avait , dans des ports , difformes et très névrosés , des mats et des toitures très remarqués , vers des postes , et des navires de brest , à saint malot , nous verrons et nous revrivrons , l'hiver vers des pays si éloigniers . Que de voir cette petite , mais très interressante vie , de savoir comme le dirait , le pére , lachaise, et sans avoir à ce souvenir , que notre corps , si corporel , et si vorace , dans des conflits si intéressants , à souvenir de cette vie qui est la mienne .

Plus de bateaux a quai , mais , aussi , plus de voiles déployées , dehors , en dehors des maisons que ce port nous rapporte , de revivre, comme etant , dans des cieux, si eternels sans avoir à revivre , l 'apocalypse .

Malgré lui , et bon vent , à la famille.

Que de votre diversité , de transcrire, souvent et en pensant que cette villa, située en bord de mer , avec vue , sur le port, que de voir parmi nous , les adolescents , et des artistes , si , nombreux , et sans soucis , de transcrire un bleu mitaine , avec humour, comme si la vie de ce géni , Coluche , en pensant à pont aven , d'Alfred à Einstein, en prenant cette muse , une bric de jaune , en guise de port de sainte aven , en oubliant , les corses , ces premiers chevaliers , de la France , des années lumières tout en étant vifs d'esprits .

Bon vent

Comme en passant et en revenant de ma montagne tout ces toits et toutes ces cheminées , portées et soutenues par des planches et par des récifs , de la pointe d'Etretat ,jusqu'à la porte des lilas, de l'église du Mont Saint Michel jusqu'aux flots du port de Saint Brieuc, de la vie des Bretons en passant par la Normandie et en savant, de voir et de revoir Arles, cette cité du sud, vers la France marocaine et en passant bien sûr sans s'arrêter, devant notre sainte mère l'église, celle qui n'appartient pas à notre Vierge, si adorée, mais aussi, si meurtrie par ces guerres impitoyable et sans intérêt, dans des dimensions voulues par un président très avare de ses avantages, souvent liés aux vies divines qui sont le Christ Roi.

Bon vent à tous, ces menteurs

Ces voiles, et les coquelicots, trainés dans des ports et dans des virées, en buvant de la bière, des ports et des porcelaines, et, comme oh! Top 14, cette voile très glorieuse et en souvenir à mon père si fier de nos prouesses vives, dans des mers, si éloignées, et si rocheuses, tant les tempêtes, les retours à terre si périlleux, et de savoir, comme si j'étais un adolescent, encore, de chercher une jolie jeune fille, si complaisante et si belle, comme de nos journées passées à revoir le cours de l'histoire de cette presqu'île, dites du Cotentin

A bientôt et bon vent

Du haut de cette plaine, du haut de ma montagne,

je ne vois qu'une petite lucarne, et qu'une petite

fillette, de raconter des histoires et des plaisanciers

si courtois envers nous, et tournés vers nous-même,

de savoirsi je vais aller, et jouir de la vie, à pleine

dent, et envers lui-même celui-ci, notre caporal, est

envers et contre tou ceux, qui nous, observe, à savoir, que dans la vie courante et dans une autre vie

plus sereine, de voyageurs et de maquignons vers

une Bresse, très aléatoire, de manger en goûtant à

pleine vie, cette vite antérieure.

Le quai, les bâteaux, engendrent un bleu et un vert

très crêmeux, et sans savoir, un homme, et une femme,

très ensemble, mais aussi très solitaires.

A Bientôt, la pêche miraculeuse

De plus en plus, d'hommes et de femmes,sont envers et encontre fou , d'être honnorés à penser et à obéir à l 'ordre de regarder la vie de la mer , vus , et tournés vers des mers si jaunes et complaisantes , à regardés vers un océan , traité par des personnes de couleur jaune .

Nous , européens , où , bien , français , nous voilà,

endimanchés comme des troufious , et virés de plaines en plaines , et vers des cieux , célestes , bien sur , mais aussi très portés vers ces couleurs si moches a la vue, mais si pétillants à l'amour .

Voilà , ma vie , si resplendissante

Dans cette presqu'île du Cotentin, et des régions des cidres bruts où légers , il y aura, bien sùr , beaucoup de biens , à renouveller, et à racomoder , et à transparaître , dans nos vies les plus intimes , de voir et de savoir si le « site » que je vous ai présenté , ne pouras, bien sur , être renouvelé tout les ans, dans , cette galeries d'artame, nos amis , philippe et françoise et, bien d 'autres , envolés , parmis les cieux , et parmis les bons et les méchants, ceus que vous préféreriez , biens sur, dans des mers etdans des océans, bleus, de couleurs légérement bleus, crêmeux , et aussi blanche , mais vertes et accidulées .

Bien sur , la presqu'ile c'est vous ?

Il y a certaines années, des faubourgs, de Paris à Montmartre, de , saint lionnel , à sainte blandine, du myte , de la vie de la surnaturelle invention , du « scopisme » , gardé , et bienvenu, à celui qui m'en piqueras , l'invention dans des périodes , si dorées , mais aussi, si aléatoires , avec en plus , de vives années encore à vivre en artiste surdoués , comme si ces phrases ne se composant toujours « en circonférences » , tactiques et bien reçues dans , l'école de bron , l'école de la vie , de la vie d'un artiste confirmé et amoureux de son art .

Bon vent à toutes les cultures ;